La restauration d’une coccinelle
Après avoir passé de nombreuses années au sec dans une grange au fin fond du Loiret (45), cette cox avait bien mérité une cure de jeunesse ! Une fois acheminée en Corrèze, la dissection du gros insecte pouvait commencer
Coccinelle 1300, état des lieux
Le bilan est plutôt positif, la vieille dame ne cache pas trop de dentelle sous sa jupe ! La caisse est saine, seul les deux passages de roue arrière présentent de la corrosion. On ne peut malheureusement pas en dire autant du châssis qui demande plus d’attention.
Chassis, la mauvaise surprise
Débarrassé de ses trains (avant et arrière), j’ai opté pour la solution la moins onéreuse mais la plus fastidieuse. Le ponçage intégral de celui-ci à l’aide d’une perceuse, d’une disqueuse et de ma femme bien sûr, afin de ramener le métal à nu pour ensuite le traiter à l’acide et enfin le peindre (antirouille). Le train avant a reçu le même traitement et le chassis a perdu ses vieux planchers. Les nouveaux planchers de qualités supérieures sont présentés et prêts à être pointés puis soudés.
La suite au prochain épisode